Vivre ensemble en 2020 avec les virus

 

Vivre en société, c’est vivre ensemble. Cela veut dire se rencontrer, se découvrir, s’adapter les uns aux autres, se mélanger, se respecter, se faire confiance…

  • Distanciation sociale

Cette année nous avons vu apparaitre dans tous nos médias traditionnels, l’arrivée d’un « nouveau virus ». A son sujet, il y a eu une communication basée uniquement sur l’émotionnel et sur la pire des peurs pour un être humain : la peur de mort.  Cette communication a mis la population dans un état de sidération par la panique organisée. 

Dés lors, la peur panique prend le contrôle  sur la raison. Une fois sidéré, le cerveau ne réfléchit plus ou mal…il se fige et donc devient prêt à se soumettre. 

Les solutions qui nous ont été imposées sont l’isolement par le confinement de tous  (même les personnes en bonne santé), une distanciation sociale permanente à venir, un masque sur le visage…

  • L’autre est un danger 

Ils convient de se demander ce que ces mesures impliquent insidieusement dans nos pensées : Le nouveau concept est l’idée que « chaque personne est, en soi, un danger pour l’autre ». Et pour contrer cela, on nous demande de  proscrire tout contact humain. 

Or, encourager la peur du contact et la peur de la proximité avec les autres est un signe très négatif de cette crise et une future source probable de déséquilibres fonctionnels. 

On a pu entendre par exemple que  les enfants étaient considérés comme « porteurs sains » et donc dangereux ! Désormais, quelle sera l’attitude des grand- parents avec leurs petits enfants ?

Les personnes de plus de 65 ans sont décrétées  comme personnes à risque : quelle sera l’attitude des enfants avec leur parents ? on le voit déjà…ils n’osent plus les approcher et ils les enferment chez eux  par peur du « drone virus » !

Ce sont des mesures qui cachent beaucoup de violence et qui vont diviser encore plus  les individus. Cela peut porter atteinte  à  la convivialité, aux rassemblements affectifs et festifs, à tout ce qui rend la vie agréable !  Où seront les sourires derrière les masques ?

  • Le toucher est une nécessité biologique

Le contact physique s’acquiert lors de notre naissance et il est primordial à notre sentiment de sécurité. Le contact de peau à peau est ce qui nous relie à l’affection, à la tendresse. C’est pourquoi on se sert dans les bras :  les parents caressent leurs enfants, les amants s’embrassent, les amis, la famille se donnent de la tendresse par des contacts légers et délicats. 

Le toucher est une nécessité biologique et la stimulation de la peau est un besoin fondamental de l’être humain, et vital pour les enfants, les personnes âgées et les malades. 

Sommes- nous conscients des conséquences que ces mesures drastiques vont impliquer sur l’équilibre émotionnel des  êtres humains  ?  Qu’en est- il des dépressions et des maladies chroniques générées par le désespoir de l’isolement, par les séparations, par le manque de tendresse ?

  • Prendre de la hauteur 

Alors pour ne pas se faire piéger par ces nouvelles « normes » restrictives , il est important de s’informer , de comprendre les enjeux, les mensonges, les manipulations sous jacentes. 

Cette idée de pandémie a commencé cet hiver par des statistiques qui ont semé la panique en annonçant un événement futur hypothétique et dramatique . Des spéculations qui se sont toutes révélées fausses aujourd’hui. 

Au début, la communication étant basée sur des spéculations et de  l’émotionnel morbide, il était alors impossible de comparer, de réfuter ou d’argumenter. 

Pourquoi cette année, les médias comptent les morts en temps réel et pas les années précédentes ? 

Il y  aussi de  fausses alertes dans les médias qui maintiennent des peurs dans le futur : Par exemple, il n’y aura pas de rebond ou de 2e vague épidémique car il n’y en a jamais ! Les épidémies ont toujours un pic de malades qui redescend ensuite et s’éteint. 

  • Peur de vivre

Pour reprendre une vie normale, comme avant, il faudra comprendre les faits, analyser la communication que l’on nous a servie et avoir conscience des excès et exagérations multiples.

Il faut aussi connaitre le fonctionnement d’un corps humain, du système immunitaire et surtout de notre   « terrain »   cher au Dr Béchamp (1816-1908). Il convient de  comprendre que nous sommes responsables de nous mêmes, de notre santé et que nous pouvons avoir confiance en notre système de défense physiologique si on en prend soin. 

C’est aussi la prise de conscience de nos peurs individuelles héritées de notre enfance, héritées de nos parents et leur transformation qui nous rendra plus fort pour vivre notre vie par amour et non par peur.

Nous avons besoin de nous ouvrir sur les autres, de découvrir le monde, de nous rassembler. 

et n’oublions pas que,  les peurs de mort sont en réalité … des peurs de vivre. ! 

 

Pour aller plus loin avec sérieux : https://youtu.be/FcvDi6tjldk